On recherche un humain qui adore l’ordre dans le désordre!

Tes crayons sont classés par couleur, du plus petit au plus grand ?  Tu as un agenda de premier ministre et tu réussis quand même à prendre soin de TOUTE ta gang?  Tu veux  travailler de n’importe où sauf dans un bureau formel.  C’est ta chance!

On cherche un humain parfait pour notre coordination de programme combiné avec des compétences de gestion administrative.

On cherche:

De la minutie

De l’organisation

De la facilité à naviguer avec différents outils technologiques 

Un leadership certain

Et surtout une passion pour l’entrepreneuriat 

Tu vas travailler 95% en virtuel, mais quand nous aurons besoin de présentiel, ça sera non négociable. Entre 25 et 30 heures!

À la fin de ta journée, tu seras satisfait parce que tu auras permis à des entrepreneurs de s’inscrire dans notre programme que tu auras permis à nos formations en ligne de bien se dérouler et tu auras assisté à la progression de nos entrepreneurs qui vont te dire merci parce que tu es là pour eux.

Postule

Programme Persévérance : Un Soutien Essentiel

S’adressant aux entrepreneurs de partout au Québec, le programme Persévérance entrepreneuriale est ouvert aux entreprises de toutes tailles et de tous secteurs d’activités, qui traversent des difficultés financières ou dont la santé physique et mentale des personnes est affectée. À travers le programme, les entrepreneurs bénéficient d’une panoplie de services, dont 25 heures de coaching pour une écoute sans jugement et une personnalisation du programme, 50 heures de formation et 5 000$. en consultation d’experts pour être mieux outillés et trouver les solutions applicables rapidement aux enjeux que rencontre l’entreprise et surtout, l’entrepreneur.

À Propos de Persévérance Entrepreneuriale

Persévérance entrepreneuriale est une initiative visant à stimuler la création d’entreprises au Québec, découlant du Plan Québécois en Entrepreneuriat (PQE). La mesure 4 de ce plan propose de « bonifier l’offre de formations adaptées en fonction des besoins des entrepreneurs ». Le programme compte de nombreux partenaires, dont le ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, le MNP, BCF, la Fondation Famille Lemaire, l’École d’Entrepreneurship de Beauce (EEB) et Rouge Canari.


Persévérance Entrepreneuriale : Marie-Pier Bérubé surmonte l’isolement lorsque son marché s’évapore

Marie-Pier Bérubé et l’Impact de la Pandémie sur Kliin

Dans le monde entrepreneurial, la tempête est inévitable. Pour Marie-Pier Bérubé, présidente de Kliin, cette tempête a pris la forme d’une pandémie mondiale. Sept ans de succès, plus de 1000 points de vente, puis soudain, l’impensable. Mais c’est dans l’œil du cyclone que Marie-Pier a montré ce qu’est la véritable persévérance.

La crise Pandémique: Un double Tranchant

Au début, la pandémie semblait être une aubaine pour Kliin, boostant les ventes à un niveau sans précédent. Mais rapidement, ce vent favorable a changé de direction. Les petites boutiques, colonne vertébrale de leurs ventes, ont commencé à fermer, emportant avec elles l’espoir de jours meilleurs.

Le réveil Brutal et la Quête de Solutions

Avec l’effondrement de son réseau de distribution, Marie-Pier a dû affronter une réalité amère : les stratégies qui avaient porté ses fruits par le passé ne fonctionnaient plus. C’est alors qu’elle a trouvé refuge dans le programme Persévérance, une bouée de sauvetage pour les entrepreneurs en détresse. Ce programme offre un soutien crucial, allant du coaching personnalisé à des consultations d’experts, un véritable arsenal pour naviguer dans la tempête.

Le poids de l’Isolement et la Puissance de la Communauté

Marie-Pier témoigne de l’importance de briser l’isolement dans ces moments difficiles. Le programme Persévérance lui a permis de se connecter avec d’autres entrepreneurs, partageant des défis similaires, une expérience humaine profondément enrichissante et réconfortante.

Regarder Vers l’Avenir avec Espoir et Détermination

Bien que le marché ne semble pas prometteur à court terme, Marie-Pier reste optimiste. Elle s’est ouverte à de nouvelles possibilités, cherchant à redéfinir le futur de Kliin. Elle voit désormais des opportunités là où il n’y avait auparavant que des obstacles.

La résilience de Marie-Pier Bérubé, un modèle pour tous les entrepreneurs

Face à l’adversité, Marie-Pier Bérubé a choisi de se battre, de s’adapter, et surtout, de ne jamais abandonner. Son parcours est un exemple éclatant que même dans les moments les plus sombres, il y a toujours une lueur d’espoir.

Cette histoire de persévérance entrepreneuriale souligne l’importance du soutien offert par le programme Persévérance dans des périodes difficiles, offrant un moyen crucial de surmonter l’adversité et de trouver des solutions innovantes pour l’avenir.

Programme Persévérance : Un Soutien Essentiel

S’adressant aux entrepreneurs de partout au Québec, le programme Persévérance entrepreneuriale est ouvert aux
entreprises de toutes tailles et de tous secteurs d’activités, qui traversent des difficultés financières ou dont la santé
physique et mentale des personnes est affectée. À travers le programme, les entrepreneurs bénéficient d’une panoplie
de services, dont 25 heures de coaching pour une écoute sans jugement et une personnalisation du programme, 50
heures de formation et 5 000$. en consultation d’experts pour être mieux outillés et trouver les solutions applicables rapidement aux enjeux
que rencontre l’entreprise et surtout, l’entrepreneur.

À Propos de Persévérance Entrepreneuriale

Persévérance entrepreneuriale est une initiative visant à stimuler la création d’entreprises au Québec, découlant du Plan Québécois en Entrepreneuriat (PQE). La mesure 4 de ce plan propose de « bonifier l’offre de formations adaptées en fonction des besoins des entrepreneurs ». Le programme compte de nombreux partenaires, dont le ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, le MNP, BCF, la Fondation Famille Lemaire, l’École d’Entrepreneurship de Beauce (EEB) et Rouge Canari.


Jean-Marc est un geek, un vrai. Il commence à programmer à l’âge de 8 ans et il a toujours été
clair pour lui qu’il allait avoir une carrière en informatique.


Au fil du temps, il se rend compte qu’il existe une demande pour un certain produit : une
plateforme qui permettrait de s’adresser anonymement à des responsables (comme un
département de ressources humaines, par exemple) pour dénoncer des situations
problématiques. Ni une, ni deux, il développe sa messagerie : Confides.


L’idée fait son chemin et il est approché en 2021 par une entreprise qui propose un programme
d’hypercroissance. Elle est convaincue que Confides a un grand potentiel. Jean-Marc
embarque. Cela ne peut être que positif, non?


Non… Même si Confides en a grandement profité, rapidement, Jean-Marc s’aperçoit que sa
société est trop petite pour ce genre de projet. Cela lui demande du temps et des ressources,
ce qui l’oblige à réduire le nombre de contrats qui fait normalement son pain et son beurre.
Inévitablement, l’argent vient à manquer et il s’endette. À un moment, il ne sait plus à quel saint
se vouer. Dans sa tête, il est d’abord un créateur, pas un dirigeant. Il a un super produit, mais
son compte de banque est dans le rouge.


Lorsqu’il entre dans le programme Persévérance, Jean-Marc cherche le chemin par où il pourra
se faufiler pour s’en sortir. C’est plutôt sa profession d’entrepreneur qu’il va trouver. Il passe du
geek à l’homme d’affaires. La part d’inconnu demeure, mais il possède de nouveaux outils et
sait à qui poser ses questions. Au fil des coachings et des exercices, un plan se met en place.
Aujourd’hui, il peut regarder l’avenir avec confiance.


« En tant qu’entrepreneur, c’est important d’avoir un moment où on se dépose, dit-il. De prendre
un pas de recul, de réfléchir et d’aller chercher les bonnes ressources. »

UN PROGRAMME ESSENTIEL
S’adressant aux entrepreneurs de partout au Québec, le programme Persévérance entrepreneuriale est ouvert aux
entreprises de toutes tailles et de tous secteurs d’activités, qui traversent des difficultés financières ou dont la santé
physique et mentale des personnes est affectée. À travers le programme, les entrepreneurs bénéficient d’une panoplie
de services, dont 25 heures de coaching pour une écoute sans jugement et une personnalisation du programme, 50
heures de formation et 5 000$. en consultation d’experts pour être mieux outillés et trouver les solutions applicables rapidement aux enjeux
que rencontre l’entreprise et surtout, l’entrepreneur.


À PROPOS DE PERSÉVÉRANCE ENTREPRENEURIALE
Persévérance entrepreneuriale est une initiative qui vise à créer davantage d’entreprises dans la province. Cette mesure
découle du Plan Québécois en Entrepreneuriat (PQE) et plus précisément de la mesure 4 de ce plan, qui est de « bonifier
l’offre de formations adaptées en fonction des besoins des entrepreneurs ». Plusieurs partenaires sont associés au
programme en plus du ministère de l’Économie de l’Innovation et de l’Énergie, dont le Rouge Canari, MNP, BCF, la Fondation Famille
Lemaire, l’École d’Entrepreneurship de Beauce (EEB),

On n’améliore pas ce que l’on ne mesure pas. Or, nos entreprises et surtout nos organisations en entrepreneuriat sont plus ou moins outillées pour s’évaluer sauf évidemment en utilisant les états financiers.

Ces derniers témoignent d’une performance économique passée, mais il y a tellement d’autres éléments à mesurer et à évaluer pour progresser tels que la satisfaction de la clientèle, les délais de livraison, la performance d’équipe versus individuelle, les impacts économiques, sociaux et environnementaux, le bonheur au travail et bien d’autres.    

La performance de l’écosystème entrepreneurial

À noter que dans notre écosystème en entrepreneuriat, c’est le même constat. Je dirais même que la marche est très haute. Nous évaluons notre impact économique en fonction du nombre d’entreprises accompagnées, du nombre d’emplois créés, du montant des investissements générés, etc. Il s’agit de mesures pertinentes pour faire de l’économie politique, mais les temps changent… Par exemple, prendre l’indicateur emplois créés comme mesure du succès en 2019 est presque péjoratif. Ça veut dire que l’argent public sert à retirer des employés d’une entreprise existante pour les diriger vers une entreprise financée.

De toute évidence, les indicateurs de performance de notre écosystème doivent évoluer pour que globalement nous progressions.

La performance sous tous ces angles

Au-delà de cela, sait-on si les organisations financées par les fonds publics sont performantes ? Que savons-nous de la satisfaction de la clientèle fasse à ses organisations ? Du bonheur des employés ou de la reconnaissance des partenaires ? Pouvons-nous connaître précisément notre impact chez nos entrepreneurs et notre impact sur l’état de l’entrepreneuriat sur le territoire ? Avons-nous des repères pour estimer notre contribution sociale et environnementale ?

Des outils pour être plus efficient et pour mieux utiliser les fonds publics

Par ailleurs, est-ce que nos organisations financées par les fonds publics disposent des meilleurs outils pour être efficaces, efficientes et performantes ? Ont-elles des cibles de marché à transformer ? Accompagnent-ils, forment-ils et financent-ils des entrepreneurs sans être au top de leur propre performance organisationnelle ? Sommes-nous des cordonniers bien chaussés ou mal chaussés ?

Bien que je pose la question, j’ai déjà certaines réponses. Dans la fusion des 18 entités de Femmessor Québec, j’ai pu recenser 18 modes de fonctionnement distincts entre les OBNL. Après coup, ce fut tout un exploit de mettre tous ces outils en communs pour en faire une belle entreprise efficiente. Trois ans plus tard, cet organisme peut se vanter d’être pratiquement sans papier, entièrement numérique, et d’avoir les outils technologiques pour faire de la reddition de compte au quotidien malgré ses 17 régions d’opérations. Comment progresser sans s’évaluer ?

On n’améliore pas ce que l’on ne mesure pas !

De plus, vous le savez sans doute, je suis une partisane de la mesure en entrepreneuriat. J’ai commencé ma carrière en mesurant le dynamisme entrepreneurial des régions du Québec en 1995…

Clairement, les écarts entre les territoires nous révélaient beaucoup d’informations nous guidant vers des recommandations de politiques publiques et de bonnes pratiques à mettre en œuvre. Encore en 2019, nous sommes sous-documentés en matière d’entrepreneuriat. Pourtant, la mesure de l’entrepreneuriat est le point de départ des démarches de communautés entrepreneuriales. Puis, l’état des lieux, ça mobilise. Il y a tellement d’autres outils de mesure et d’évaluations utiles à notre progression.

Vous souhaitez mettre en place un système performant dans votre OBNL ? Rouge Canari peut vous accompagner dans tous ces domaines d’évaluation.

Pour conclure, chez Rouge Canari, nous disposons de plus d’une expertise pour vous aider à mettre en place des outils numériques pour optimiser vos tableaux de bord. Plus de rapports de reddition de compte à faire aux trimestres !

Au plaisir de vous rencontrer.

Trois auteurs exposent dans un ouvrage les facteurs essentiels à l’émergence d’une communauté entrepreneuriale

Shawinigan, le 18 septembre 2018 – Pour la première fois au Québec, en s’inspirant du succès de la reconversion économique de Shawinigan, un ouvrage dresse les conditions gagnantes à l’émergence d’une culture entrepreneuriale à l’intérieur d’une communauté.

Fruit d’une collaboration entre trois auteurs qui, depuis plus d’une dizaine d’années, ont réfléchi puis mis en pratique le concept de culture entrepreneuriale Des communautés plus entrepreneuriales : se prendre en main se veut un guide pour des leaders locaux qui souhaitent mobiliser leur collectivité par une approche d’animation et de mobilisation de leur écosystème entrepreneurial.

« C’est un livre qui explique la recette que Shawinigan a appliquée de façon exemplaire au cours des 10 dernières années », lance Michel Angers, maire de Shawinigan et porte-parole de la Communauté entrepreneuriale de Shawinigan. « Ce n’est pas une recette à succès, mais plutôt le succès d’une recette que tous les partenaires de notre communauté ont mis en action pour prendre notre avenir en main. »

« Le développement de la culture entrepreneuriale est un projet de société qui implique l’ensemble des partenaires autour de deux objectifs fondamentaux : le développement du goût d’entreprendre des jeunes et moins jeunes, des femmes et des hommes ainsi que de l’esprit d’entreprise d’une communauté qui souhaite créer sa propre abondance », explique le directeur général de la Communauté entrepreneuriale de Shawinigan, Denis Morin, l’un des trois auteurs de l’ouvrage.

Le guide se décline en trois parties. Dans un premier temps, Nathaly Riverin entreprend de définir le concept de culture entrepreneuriale. « Une communauté entrepreneuriale prend naissance quand les leaders locaux décident que l’entrepreneuriat est un vecteur de solution pour leur développement économique et social et qu’ils s’organisent tels les joueurs d’une équipe pour avoir de l’impact tous ensemble », souligne celle qui a dirigé notamment l’École d’entrepreneurship de Beauce.

En seconde partie, Rina Marchand présente l’Indice entrepreneurial, un outil qui s’avère une clé essentielle dans la mobilisation des leaders locaux puisqu’il permet de mesurer les succès et les échecs du plan d’action. « Ce guide tente de donner un langage commun et des façons de faire éprouvées afin de construire ce qui peut transformer positivement et durablement un territoire et ses citoyens : une communauté entrepreneuriale. De plus, l’ouvrage est résolument inclusif, car tous ont un rôle à jouer dans cette communauté », explique la directrice des communications de la Fondation de l’entrepreneurship.

Enfin, Denis Morin expose la réussite de Shawinigan qui est devenue une communauté entrepreneuriale performante, passant d’une économie axée sur le salariat et confrontée à des fermetures d’usines à une culture entrepreneuriale dont le succès attire tous les regards depuis quelques années.

Les initiatives en entrepreneuriat ne manquent pas au Québec, mais l’absence de cohésion et de vision commune des leaders locaux s’est avérée jusqu’ici un écueil à son développement. L’ouvrage inspiré par les travaux novateurs de Paul-Arthur Fortin, fondateur de la Fondation de l’entrepreneurship, vient pallier à cette lacune en énumérant les facteurs de réussite mais aussi les dangers à éviter.

Des communautés plus entrepreneuriales : se prendre en main est disponible gratuitement. On peut se le procurer en adressant une demande par courriel à info@rougecanari.com ou à info.ceshawinigan@gmail.com ou en le téléchargeant à partir du site de la Communauté entrepreneuriale de Shawinigan (www.ceshawinigan.ca).

 

À propos des auteurs

D’intrapreneure à entrepreneure, Nathaly Riverin a initié plusieurs projets en entrepreneuriat au Québec notamment l’Indice entrepreneurial, les communautés entrepreneuriales et l’École d’entrepreneurship de Beauce. Elle développe aujourd’hui sa propre entreprise, Rouge Canari, dont la mission est de développer les connaissances et les compétences des acteurs de l’écosystème entrepreneurial en initiant des activités d’information, de valorisation ou de formation.

Diplômée du MIT dans le cadre du Entrepreneurship Development Program et ayant œuvré dans le secteur des technologies de l’information pendant 15 ans, Rina Marchand dirige depuis 2008 les communications à la Fondation de l’entrepreneurship. Elle chapeaute depuis 2013 la publication de l’Indice entrepreneurial québécois et le développement de contenus et de projets numériques pour le Réseau M, le réseau de mentorat pour entrepreneurs de la Fondation.

Denis Morin a été enseignant, directeur d’école, directeur conseil en entrepreneuriat et conseiller au développement des politiques au Secrétariat à la jeunesse du Conseil exécutif. Il a aussi dirigé les projets pédagogiques du Réseau québécois des écoles entrepreneuriales et de la Fondation de l’entrepreneurship. Il a démarré et dirigé la Communauté entrepreneuriale de 2009 à 2018. À titre de coordonnateur des comités de travail, il vient de rejoindre l’équipe de Lab-école à Québec pour en assurer le déploiement dans les régions du Québec.

Sur la photo en haut de page, on retrouve en partant de la gauche les trois auteurs : Nathaly Riverin, de Rouge Canari, Denis Morin, de la Communauté entrepreneuriale de Shawinigan et Rina Marchand, de la Fondation de l’entrepreneurship.

 

Source :

Bernard Lepage
Conseiller aux communications
Communauté entrepreneuriale de Shawinigan

POUR OBTENIR L’OUVRAGE : info@rougecanari.com