Je ne sais pour vous mais pour plusieurs entrepreneurs qui nous contactent au Programme persévérance, les trimestres s’accumulent sans bonnes nouvelles mais plutôt avec les défis qui ne font que s’accumuler…
On va se le dire : les dernières années ont été difficiles pour nos entrepreneurs.
- Les enjeux de main-d’œuvre existent depuis des années et se sont empirés depuis les deux dernières années.
- La pandémie a frappé fort avec tout ce que ça impliquait en matière de stress, de perte d’emplois, de gestion de crise, d’ouverture, de fermeture, deréouverture et de refermeture.
- Les problèmes d’approvisionnement ont explosé, la guerre en Ukraine n’aide rien…
- Et l’inflation! La banque centrale a choisi d’augmenter son taux directeur de manière fulgurante pour tenter de la contrôler. Mais cela fait mal aux entreprises.
- Les coûts associés à la dette augmentent, les banquiers sont plus frileux, les consommateurs aussi.
Sommes-nous au cœur de la tempête ? Ceux qui n’ont pas augmenté leur prix
hésitent à le faire de peur de perdre leurs clients qui ont désormais un pouvoir d’achat réduit. Le
manque de employés fait en sorte qu’ils ont davantage de demandes en matière de salaire et
de conditions. Le travail à distance ou hybride rend l’esprit d’équipe plus distendue, la culture
d’entreprise plus difficile à générer. Pour plusieurs dirigeants, cela signifie devoir revenir sur le
plancher, de participer aux opérations quotidiennes en laissant la gestion et la stratégie à long
terme pour le soir et les week-ends.
Que dire de votre modèle d’affaires? Tient-il encore la route? Dans le programme, nous avons fait pivoter plusieurs entreprises et cela a permis de relancer les ventes « payantes » et redonner de la motivation à nos entrepreneurs.
La fin de l’année 2023 est encore pleine de mystère, mais on sait déjà que des nuages s’amoncellent à
l’horizon notamment avec le remboursement des prêts octroyés par le fédéral.
Ralentissement des investissements, diminution des commandes, hausse des taux à prévoir…encore!
Ouf! Pas étonnant que plusieurs entrepreneurs sont à bout de souffle. Les statistiques sont là.
Pas moins de 75 % des propriétaires de PME souhaitent céder leur compagnie d’ici 10 ans;
22 % d’entre eux simplement parce qu’ils ressentent une grande fatigue.
Éprouver du découragement quand les tuiles ne cessent de nous tomber sur la tête, c’est
normal. Ce qu’il faut éviter, c’est de rester seul dans ce sentiment. Des solutions existent pour
vous entourer, vous écouter et vous aider à rebondir.
Concrètement: on revise vos finances, votre modèle, votre équilibre. On mobilise des experts et notre réseau. Sortez de votre solitude!
Contactez-nous au 1-833-849-7294 ou au info@thinktankentrepreneur.org
Ce n’est pas la fin du monde sauf que…ça laisse des traces.
Échouer. Les gourous de l’entrepreneuriat nous disent que ça arrive à tout le monde, que cela fait partie du processus, du risque, et qu’on doit dédramatiser la situation.
Oui.
Mais quand c’est notre maison et notre réputation qui est sur la ligne, contempler la faillite peut faire mal. Très mal.
Isabelle a accepté de témoigner de son expérience. Isabelle n’est pas son vrai prénom. Parce qu’elle est capable de parler de sa chute, mais pas à visage découvert.
Après ses études, elle se loge dans l’entreprise familiale quelque temps, puis décide de voler de ses propres ailes. Les choses vont bien : elle a un talent pour développer ses affaires. Rapidement, elle se trouve de gros clients. Des comptes qui lui demandent de gérer d’importantes liquidités. Les paiements tardent, la pression s’accentue, les banquiers ferment leurs portes. Pour s’en sortir, elle vend, mais reste comme salariée pour aider à remettre le tout sur pied. Un jour, elle s’aperçoit que la compagnie a été mise en faillite. Les employés viennent la voir, stupéfaits, désespérés. Certains l’engueulent, saisis par l’émotion. Elle-même ne sait où donner de la tête : personne ne l’avait mise au courant.
Le coup est dur et elle a encore des dettes. Elle retourne dans le giron familial, rembourse tout, prend les rênes de la compagnie avec un associé. Et là encore, malgré toute sa bonne volonté, malgré le fait qu’elle jure avoir géré l’entreprise de la manière la plus serrée, la plus efficace possible, la fatalité frappe de nouveau. Deux clients décident de ne pas payer. Les sommes sont astronomiques. Elle se retrouve aux comptes spéciaux de son institution financière. Le cauchemar.
« Je n’ai jamais vécu une période aussi stressante de ma vie », dit-elle. Elle passe le clair de son temps à tourner ses chiffres de tous bords, tous côtés. La banque l’accuse de mentir dès qu’un chèque ne rentre pas le jour prévu. Elle perd son sommeil, ses cheveux. Elle a du mal à réfléchir. Heureusement, l’équipe en place ne la laisse pas tomber et finit par trouver une solution. La plupart des emplois sont sauvés, les dettes remboursées.
Deux fois, elle a frôlé la faillite, deux fois elle s’en est échappée. Elle a payé tout le monde, ne doit rien à personne. Pourtant, la douleur est vive, la plaie tarde à cicatriser. Encore aujourd’hui, elle en vit les séquelles.
« J’aurais eu besoin d’une personne qui m’aide à rationaliser, qui me permette de comprendre que c’était de la malchance dit-elle. On peut aller voir un psy pour ce qui se passe dans notre tête, mais pas pour l’entreprise. Quelqu’un qui aurait été en mesure de me coacher à la fois pour que je me sente mieux et pour développer des solutions, c’est ça que ça m’aurait pris. »
Son message : si vous êtes dans cette situation, il y a des moyens qui existent. N’hésitez pas à lever la main, vous vous en remercierez plus tard.
Le 1er février 2023 au Musée de la civilisation à Québec, se tenait une conférence de presse pour annoncer que le programme Persévérance entrepreneuriale allait être supporté financièrement par ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (MEIE) dans le cadre du Plan québécois en entrepreneuriat (PQE) 2022-2025 à hauteur de 900 000$ sur 3 ans.

Pour l’occasion, M. Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie ainsi que Mme. Joëlle Boutin, Députée de Jean-Talon et Adjointe parlementaire du ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (volets sciences et innovation) étaient présents lors de l’événement pour en faire l’annonce.
« L’accès à de l’accompagnement comme celui offert par la mesure Persévérance entrepreneuriale est essentiel pour assurer la réussite de nos entrepreneurs. C’est grâce à des initiatives comme celle annoncée aujourd’hui qu’on leur donne les moyens de faire face à l’adversité et d’innover dans leur domaine » soulignait M. Pierre Fitzgibbon.
Un programme d’accompagnement qui tombe à point
Depuis son lancement, le 9 janvier 2023, c’est plus 110 appels qui ont été logés au Programme à ce jour par des entrepreneurs ayant besoin de support. Dès la semaine du 6 février, c’est 21 participants divisés en 3 cohortes qui démarrent le processus d’accompagne.
« Une faillite commerciale et une personnelle ont même déjà été évitées! Je pense que le succès immédiat de notre programme prouve que nous répondons à un besoin criant », affirme Nathaly Riverin, PDG de Rouge Canari et du Think Tank en entrepreneuriat et fondatrice du programme Persévérance entrepreneuriale.
Qu’est-ce que le programme Persévérance entrepreneuriale?
S’adressant aux entrepreneurs de partout au Québec, Persévérance entrepreneuriale est ouvert aux entreprises, de toutes tailles et de tous secteurs d’activités, qui traversent des difficultés financières ou dont la santé physique et mentale est affectée. À travers le programme, les entrepreneurs bénéficient d’une panoplie de services, dont :
- 25 heures de coaching pour une écoute sans jugement et une personnalisation du programme
- 30 heures de formation pour être mieux outillés et trouver les solutions applicables rapidement aux enjeux que connait l’entreprise
- l’accès privilégié à l’expertise d’un entrepreneur chevronné parmi Marcel Dutil (Groupe Canam), Jean Laflamme (South Shore), Nadia Bourgeois (ORÄ Partenaires), Evan Price (Auberge Saint-Antoine), Louis Garneau ou Dominic Gagnon (Connect and Go)
- l’accès à un réseau d’entrepreneurs qui vivent les mêmes défis, avec qui partager et à une équipe composée de gens d’une expérience remarquable, généreux et ayant un désir commun d’aider.
- Un séjour de deux jours à l’École d’Entrepreneurship de Beauce
- des services professionnels spécialisés sont également offerts pour aider à traverser la tempête.
Quelques images de la conférence de presse du 1er février 2023
Après quelques semaines d’activité, nous constatons que le nombre d’entrepreneurs en difficulté est considérable et la demande pour le programme est au-delà de nos prévisions. Nous sollicitons les entrepreneurs à succès afin de nous aider … à aider.
Nous initions donc une vaste compagne de socio-financement afin de nous aider à accompagner un plus grand nombre de personnes.
Chaque dollar investi se dirigera vers de l’aide directe aux entrepreneurs via du coaching stratégique et personnel, de l’expertise financière, de la formation et du co-développement.
“Tous les entrepreneurs ont vécu des moments de grande solitude, et de honte.
Quand ça tourne mal, ils sont envahis par le sentiment de décevoir tout le
monde: employés, famille, banquiers. Comment naviguer dans la charabia d’un
redressement, légal, financier, voir d’insolvabilité quand tout bascule? À qui
parler de sa situation? La peur du jugement et le sentiment de l’avoir vraiment
échappé… notre équipe connait ça. Nous souhaitons être là, à ce moment
précis car nous savons qu’une période difficile pour l’entreprise, est une période
atroce pour son dirigeant. Cette période ne vous définit pas, ni maintenant, ni
dans le futur. Laissez-nous vous aider. Ne laissez pas les choses empirer.”
L’équipe du programme Persévérance, en croissance continue, vous remercie pour votre soutien.
Préservons le tissus entrepreneurial du Québec.
Article publié dans le Journal de Montréal, 15 décembre 2022
Après plus de deux ans de pandémie, bien des entreprises se trouvent dans une situation précaire. Les ventes ont repris, mais pas forcément au même rythme qu’avant, les coûts d’exploitation ont explosé. Résultat : plusieurs entrepreneurs jonglent avec l’idée de fermer leur entreprise ou se retrouvent en situation de faillite. Bonne nouvelle ! Ils ont maintenant accès à de l’aide pour passer à travers ces moments difficiles grâce au Programme Persévérance entrepreneuriale qui sera lancé dès janvier 2023.
Persévérance entrepreneuriale, c’est quoi ?
Il s’agit d’un programme personnalisé de formation et d’accompagnement unique en son genre qui s’adresse d’abord et avant tout à l’humain derrière l’entreprise pour lui offrir le soutien dont il a besoin et l’aider à éviter l’échec de son entreprise. Ce programme vient combler un vide pour les entrepreneurs.
« Il existe peu d’aide pour les entrepreneurs qui vivent ces difficultés, affirme Nathaly Riverin, présidente-fondatrice du Think tank en entrepreneuriat, l’organisme qui a conçu le programme. Quand les choses tournent mal, ils passent par de grands moments d’incertitude et d’anxiété et ont tendance à s’isoler. Un grand vide se crée autour d’eux. Leur vision devient floue. Après deux ans de pandémie et de main-d’oeuvre limitée, l’énergie des entrepreneurs est au plus bas, certains perdent le goût de se battre pour sauver leur entreprise. Le programme priorise l’entrepreneur pour l’aider à rebondir et ne pas décrocher de l’entrepreneuriat. Et si la faillite est inévitable, on pourra aussi l’aider à y faire face. C’est un long tunnel avant de voir la lumière. Plusieurs nous disent: on s’en remet jamais complètement.»
Il s’agit d’un programme officiel du Plan québécois en entrepreneuriat (PQE), une initiative qui vise à créer davantage d’entreprises dans la province. Plusieurs partenaires sont associés au programme dont le ministère de l’Économie et de l’Innovation et de l’Énergie, MNP, la Fondation Famille Lemaire, l’EEB et Rouge Canari.
En quoi consiste le programme ?
Les entrepreneurs pourront bénéficier d’une panoplie de services.
- 25 heures de coaching pour une écoute sans jugement et une
personnalisation du programme; - 30 heures de formation pour être mieux outillés face aux enjeux d’une
refonte du modèle d’affaires, d’une fermeture ou d’une faillite et prendre
la meilleure décision possible - l’accès privilégié à un des grands persévérants, des entrepreneurs
chevronnés, dont Marcel Dutil (Groupe Canam), Jean Laflamme
(South Shore), Nadia Bourgeois (ORIA), Louis Garneau, DominicGagnon (Connect and
Go); - un réseau d’entrepreneurs qui vivent les mêmes défis et avec qui
partager; - un séjour de deux jours à l’École d’entrepreneurship de Beauce pour
rencontrer d’autres entrepreneurs et faire le plein d’idées et de conseils;
entre 5 000 $ et 10 000 $ de services professionnels spécialisés pour
aider à traverser la tempête; - un total de 25 000 $ en soutien de toutes natures pour un coût mensuel
de 150$ à 300$ pendant un an.
À qui s’adresse-t-il ?
Aux entrepreneurs de partout au Québec qui vivent de grandes difficultés financières ou dont la santé physique et mentale est affectée par la situation. Le programme est ouvert aux entreprises de toutes tailles et de tous secteurs d’activités.
Comment accéder au programme ?
« La première étape, c’est de nous appeler pour discuter, faire connaissance et voir si le programme convient à leur situation, explique Nathaly Riverin. Nous répondrons à tous les entrepreneurs dans le besoin dès le 9 janvier prochain, et il est possible de l’intégrer le
programme à tout moment durant l’année. »
“Tous les entrepreneurs ont vécu des moments de grande solitude, et de honte.
Quand ça tourne mal, ils sont envahis par le sentiment de décevoir tout le
monde: employés, famille, banquiers. Comment naviguer dans la charabia d’un
redressement, légal, financier, voir d’insolvabilité quand tout bascule? À qui
parler de sa situation? La peur du jugement et le sentiment de l’avoir vraiment
échappé… notre équipe connait ça. Nous souhaitons être là, à ce moment
précis car nous savons qu’une période difficile pour l’entreprise, est une période
atroce pour son dirigeant. Cette période ne vous définit pas, ni maintenant, ni
dans le futur. Laissez-nous vous aider. Ne laissez pas les choses empirer.”
conclut Nathaly Riverin.
« Il vaut mieux ne pas attendre que la situation s’enlise avant de prendre contact, ajoute-t-elle. Plus le stress et la peur de tout perdre nous envahissent, plus notre champ de vision se rétrécit. En intégrant le programme, les entrepreneurs auront la chance de se tourner vers un équipe expérimentée en affaires capable de se mettre dans leurs souliers et de leur faire voir les solutions possibles.
C’est plus facile de persévérer en affaires quand on est bien entouré », conclut Nathaly Riverin.
Laissez-nous vous aider! info@thinktankentrepreneur.org.
Pour en savoir plus
thinktankentrepreneur.org/services/perseverance-entrepreneuriale/
Ça fait tellement longtemps que j’y pense. J’attendais l’impulsion pour aller de l’avant. La bonne formule, le bon ton, le bon why? La bonne structure et le bon CA.
J’ai semé une graine. Et j’ai patienté. Je vous épargne le montage légal relatif à la constitution d’un OBNL et je remercie les premiers membres du CA qui ont crus à ce projet!
J’ai jasé avec mon directeur artistique et graphiste de longue date pour lui partager mon idée, ma vision d’un Think tank en entrepreneuriat. Quand un projet est aussi abstrait, j’aime bien le mettre en images, puis en mots. Il m’a proposé un visuel, j’ai mis sur papier mes idées et petit à petit ça prenait forme! Le site internet était prêt.
Mais c’était alors une coquille vide, une belle coquille qui présentait ma vision et mes intentions.
Des mots: Réfléchir. Co-créer. Propulser.
Une vision:
Être reconnu dans la francophonie pour proposer des projets innovants et structurants qui transforment et améliorent les écosystèmes entrepreneuriaux du futur.
Une mission:
Rassembler un groupe d’experts séniors en entrepreneuriat du Québec afin d’identifier, de concevoir et d’incuber des projets innovants et structurants qui transforment et améliorent les écosystèmes entrepreneuriaux du futur.
On est encore loin de l’action! Je devais présenter le projet à ceux que je souhaite mobiliser, à ceux qui m’inspirent. En d’autres termes, faire mon premier « elevator pitch ». Vertige! Un Think tank, c’est un véhicule de réflexion et ça prend des gens de contenu, d’expérience et crédibles pour exister.
Ma dream team
J’ai imaginé une dream team. Je me suis concoctée une liste des personnes avec lesquelles j’ai toujours eu un réel plaisir à échanger sur la situation de l’entrepreneuriat. Des gens qui ont le même why que moi: faire avancer l’entrepreneuriat au Québec, avec des moyens et des connaissances variés. Tous déjà très occupés.
En août dernier, j’ai plongé, premier appel. « J’ai une idée et je t’envoie un lien du site, tu vas comprendre le projet, reviens-moi. » Elle a dit: « j’embarque! » On était deux. Ça m’a fait pensé au vidéo suivant: The First Follower.
En septembre, j’ai pris une grande respiration et je les ai tous contactés. Comme tout bon vendeur, je me suis dit que le pire qui peut arriver c’est qu’ils me disent non et au mieux, j’aurais pris de leurs nouvelles.
Ils ont tous dit oui! À quoi?
- S’engager à prendre dix (10) heures de leur précieux temps pour partager leurs connaissances et leur vision très personnelle sur les perspectives d’avenir de l’entrepreneuriat;
- Être disponible pour tester des idées ou commenter des projets;
- Me faire suivre leur note bio et leur photo!
L’idée commençait à prendre sérieusement la forme d’un projet réel avec du vrai monde. Des leaders de l’entrepreneuriat, des gens d’influence et des passionnés. Les pragmatiques, critiques au profil bleu vont me dire: Tu t’en vas ou concrètement avec ça? À ce stade, j’aurais répondu: « Aucune idée claire…mais assurément une vision floue!«
Du JE au NOUS
En écrivant ces lignes, j’ai une certitude absolue.
Nous sommes maintenant 15 personnes autour de la table avec un fort esprit entrepreneurial. Nous allons décider de la direction qui nous inspire. Réfléchir. Co-créer. Propulser. Notre première étape sera de développer l’esprit de corps de ce groupe d’exception, d’apprendre à se connaître et de s’intéresser aux parcours, aux découvertes, aux aspirations de chacun. Et surtout, de se laisser porter par la créativité et la passion qui nous habitent tous pour l’entrepreneur. Au minimum, nous serons tous plus inspirés, mieux connectés les uns aux autres et plus forts dans nos positions respectives. Ce sera déjà une belle réalisation.
Je vous présente donc le premier comité aviseur du premier Think tank en entrepreneuriat:
- Anne-Pierre Paquet, PDG, Complicia
- Catherine-Anne Blackburn, Université Laval
- Claude Ananou, entrepreneur en série, HEC Montréal
- Isabelle Leber, PDG, EEB
- Jean Lepage, ex-DG, ID Gatineau
- Jean-Marc Sauvé, ex-sous-ministre au MEI
- Jessica Grenier, Présidente et associée, Espace Oria
- Katia Renaud, directrice talent, FX Innovation
- Marie-Eve Proulx, conseillère stratégique, RCGT
- Mario Girard, Président du Port de Québec, Ex-PDG de la FDE
- Michel Bundock, ex-PDG du Groupement des chefs d’entreprise
- Natacha Jean, ex-PDG d’OSE entreprendre
- Rina Marchand, directrice, FDE
- Véronique Dargis, directrice du rayonnement, Evol
Merci à tous d’embarquer dans ce projet. Souhaitons qu’il devienne notre projet.
Vous souhaitez rejoindre ce groupe de réflexion, contactez-moi: n.riverin@rougecanari.com
Vous avez envie de nous exposer une idée, un projet ou une question qui mérite réflexion. Contactez: info@thinktankentrepreneur.org
À propos du Think tank en entrepreneuriat
Premier organisme du genre à voir le jour au Québec, le Think tank en entrepreneurial a pour mission de rassembler un groupe d’experts en entrepreneuriat afin de réfléchir aux enjeux actuels et futurs de l’entrepreneuriat, de co-créer des projets innovants et structurants en entrepreneuriat et d’utiliser sa capacité d’influence pour les propulser.